La colère peut se transformer en peur et disparaître, mais laisser une plaie ouverte apparaître.
Dévoilant une prison aux multiples formes, tout en se faisant oublier mais se transforme. Le temps semble atténuer cette plaie, qui n’a jamais cicatrisée. Mais qui est cet ennemi redouté ? Notre face cachée ?
Il est à présent temps de se libérer de ses démons, de toutes ces choses qui nous construisent et nous détruisent à la fois, de toutes ces blessures et ces peurs qui aspirent notre moi. La guérison semble chimérique, comme si la plaie ne cicatrisait jamais. L’abréaction n’est pas une illusion, elle est sûrement la clé de cette attente. Peut être que le temps réparera cette blessure en une cicatrice invisible mais toujours présente. Comme si rien ne s’était abîmé, comme si le temps n’avait pas eu d’effet. Les marques du temps sont là pour nous rappeler ces moments enracinés en nous et gravés dans notre chair, se logeant discrètement dans nos artères, elles parlent de nous, de notre histoire, elles resteront dessinées à jamais dans notre mémoire et sont le reflet de notre âme fissurée avec le temps qui s’est écoulé.
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